Nous vous en parlions déjà dans cet article. Le gouvernement suédois vient d’annoncer qu’il poursuit la Commission Européen au vu de son incapacité à développer les critères d’identification des perturbateurs endocriniens ! (voir cet article - en suédois)

Les critiques du gouverment suédois s’adressent notamment au Commissaire européen pour l’environnement, Janez Potocnik, qui n’a visiblement pas pu tenir bon devant le lobby du secteur de la chimie - alors que sur ce dossier, comme sur de nombreux autres, il est essentiel, pour des raisons de protection de la santé publique que la Commission soit du côté des citoyens.

L’association environnementale ChemSec a salué cette décision et espère que cette initiative provoquera le déclic indispensable et salutaire pour que la Commission Européenne passe enfin à l’action.

Si les élections de ce dimanche empêchent toute prise de position belge dans l’immédiat, nous espérons que les intentions déclarées dans les programmes des différents partis se concrétiseront dès la constitution des gouvernements...